Investir en Afrique

L’AFRIQUE, UNE VALEUR SÛRE

L’Afrique jouit de son emplacement stratégique, à l’intersection de tous les flux commerciaux aériens et maritimes mondiaux, de ses importantes ressources minières, agricoles et démographiques.

Investir en Afrique

Berceau de l’humanité depuis plus de 7 millions d’année, l’Afrique est considérée toutefois l’une des terres les plus vierges du globe. Vierges en termes d’exploitation des ressources, des terres agricoles et des opportunités d’affaires.
Avec une population de 1.5 Milliards d’habitants et un PIB continental de 4 500 Milliards de Dollars, l’Afrique demeure le continent le plus pauvre de la planète avec une moyenne de 3500 Dollars par Habitant. Ce potentiel d’évolution, représente une opportunité d’affaires énorme.
L’Afrique est une terre riche, sans doute l’une des plus riches au monde, en effet le continent contient 30% des réserves mondiales de minerais, dont entre autres, 40% d’Or, 60% de cobalt et jusqu’à 90% de platine, L’Afrique contient également 10% des réserves énergétiques mondiales.
Toute ces ressources sont souvent exportées à l’état brut, une absence de valorisation qui représente un manque à gagner énorme mais aussi de vraies opportunités de création de valeur.
L’Afrique abrite aussi plus de 16% des terres agricoles exploitables et 10% des ressources d’eau renouvelables au niveau mondial ainsi qu’une nappe phréatique très généreuse et inexploitée estimée à 100 fois les ressources annuelles en surface.

5 Bonnes Raisons pour Investir en Afrique (Selon UN)

L’Afrique est la région la plus rentable au monde.

L’Afrique a enregistré depuis 2011, le taux rendement des investissements (directs étrangers) le plus élevé au monde, soit 14 %, à comparer aux taux de 9,1 % en Asie, 8,9 % dans la région Amérique latine et Caraïbes. Et une moyenne à l’échelle mondiale est de 7,1 %.

Les perspectives de croissance économique en Afrique comptent parmi les plus prometteuses au monde.

Six des 12 pays à plus forte croissance sur la planète se trouvent en Afrique (Éthiopie, Côte d’Ivoire, Mozambique, Tanzanie, République démocratique du Congo et Rwanda).

Qui plus est, selon le FMI, entre 2018 et 2023, les perspectives de croissance de l’Afrique seront des plus intéressantes au monde.
La bonne nouvelle est que les secteurs où les entreprises étrangères pourraient avoir un avantage comparatif, notamment la banque, les télécommunications et les infrastructures, font partie des moteurs de la croissance économique actuelle de l’Afrique — ce qui ouvre des possibilités d’investissement manifestes pour ces entreprises.

Face au vieillissement de la population de la plupart des autres régions du monde, la population de l’Afrique, jeune et en expansion, constitue un marché formidable.

Selon les prévisions, la population du continent devrait quadrupler, passant de 1,5 milliard d’individus en 2020 à 4,4 milliards à l’horizon 2100.
La jeune population de l’Afrique contribue à l’abondance de main-d’œuvre, qui représente l’un des potentiels les plus importants pour une industrialisation à forte intensité de main-d’œuvre, et baisse les coûts de production, ce qui donne lieu à des bénéfices qui dépassent largement le coût de la conduite des affaires sur le continent.
Le salaire horaire en Afrique est inférieur à 50 cents (il est par exemple de 0,27 dollar  au Mozambique, 0,34 dollar au Nigéria et 1,62 dollar  au Maroc), à comparer à 10,49 dollars  au Royaume-Uni, 7,25 dollars aux États-Unis et 6,57 dollars au Japon.

Les importantes réserves africaines de ressources naturelles font espérer un avenir prometteur pour le développement des chaînes de valeur.

Les secteurs de l’agriculture et des industries extractives constituent la clé de voûte des chaînes de valeur nationales, régionales et mondiales. L’Afrique abrite 60 % des terres arables non cultivées dans le monde.
En 2015, le continent a produit 13 % du pétrole mondial, contre 9 % en 1998. La croissance de la production de pétrole et de gaz naturel entre 1980 et 2012 a observé une tendance remarquable : la production de pétrole est passée de 53,4 milliards de barils à 130,3 milliards de barils ; et celle de gaz naturel de six billions de mètres cubes en 1980 à 14,5 billions de mètres cubes en 2012. En fin 2012, l’Afrique contrôlait également 53,9 % des ressources mondiales en diamants. En 2017, la République démocratique du Congo représentait à elle seule 58 % du cobalt mondial (une matière utilisée dans la production de composants électroniques) tandis qu’en 2016 l’Afrique du Sud s’arrogeait 69,6 % de la production mondiale de platine (utilisé dans la fabrication de convertisseurs catalytiques et d’autres produits). Le fait d’investir activement dans la valorisation de ces produits, entre autres activités extractives, déterminera les activités économiques mondiales des cinq prochaines décennies.

Les évolutions internes dans les différents pays donnent du crédit à l’idée que le programme de transformation économique de l’Afrique est effectivement en marche.

Une plus grande prudence macroéconomique et l’amélioration de la gouvernance globale sont quelques-unes de ces évolutions. À titre d’exemple, l’Indice Ibrahim de la gouvernance africaine 2017 montre que l’indice global de gouvernance de l’Afrique s’est amélioré au rythme annuel de 1,4 % depuis 2007, soit une progression de plus de 5 % dans au moins 12 pays (notamment la Côte d’Ivoire, la Tunisie, le Rwanda et l’Éthiopie). Ces avancées contribuent à atténuer l’idée que de nombreux investisseurs se font du risque sur le continent.

Les gouvernements africains devraient s’appuyer sur cette tendance positive pour optimiser les investissements étrangers. Ce qui signifie, entre autres, éliminer la corruption ; améliorer la sécurité et la sûreté ; renforcer l’environnement macroéconomique ; investir dans une éducation de qualité et dans le développement des compétences en science, technologie et innovation

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